Hylarion "un nouveau départ"

La nuit avait pris place dans les ruelles Messantia, seule une pleine lune pouvait laisser apparaître et faire danser les ombres dans l'obscurité du cote du port. Aucunes torches ou autres sources de lumière brillaient de ce coté de la ville, ce qui rendait l endroit le plus mal famé de la citée.

On y rencontrait que peu de personnes à cette heure tardive , les marins qui étaient très présents lors des escales, la région d'Argos était connue pour ses navigateurs hors pair, pirates et autres hommes sachant manier la barre.
Les meilleurs lames de l'ombre aimaient le port pour ses imprudents qui avaient tendance à s'attarder dans les tavernes pour y en ressortir saoul ou allant prendre un peu de plaisir avec les catins, faisaient de très bonnes proies à dépouiller. Combien de fois l'aube contemplait ces corps nus gisant à terre la gorge tranchée, la bourse envolée, habits et autres breloques dérobés. Ce qui renforça le marcher noir, tout ceux qui cherchaient à se fournir savaient où s'adresser.
Il vaut mieux etre connu ou savoir se servir de l'art du combat pour ressortir vivant de ce coupe jarret.

Une ombre s élongeait dans une des ruelles, elle dansait de droite à gauche, ce qui laissait croire qu 'un homme ivre avançait péniblement. C'est ce que pensait l'homme tapis à une cinquantaine de pas, entre deux maisons serrées, qui laissait place que pour lui seul.

Sa cible se rapprochait toujours avec le même rythme chancelant, maintenant il pouvait distinguer l'ombre, c'était bien un homme la tête basse, de grande taille, il ne pouvait voir de quelle race il etait. La nuit et la longue cape qui lui tombait aux pieds, cachait ce détail. La capuche ne laissa aucuns traits apparaître, mais sa corpulence plus que généreuse lui disait qu il devai être rapide et ne pas louper sa première tentative.

C'était le moment, l homme venait de passer devant la rue sans avoir jeter un regard vers la silhouette qui etait cachée. D'un bon agile, le voleur sorti de sa cachette une dague à la ma droite, alors que tout semblait lui sourire et au moment ou il allait passé sa lame sur la gorge de sa victime, il senti une force terrible serré son poignet. Dans un craquement terrible, il se retrouva désarmé et le poignet casser. En un éclair, il était plaqué contre le mur d'une des deux maisons, son bras lui faisait atrocement mal mais aucun son ne pouvait sortir, sa gorge était compressée par une main de fer.

-Haha!!! pour qui te prends-tu?
-Croire prendre par surprise un Gardien Aquilonien.
-Sale stygien.... tu pues le lotus noir à trois cents pas d'ici.

Le stygien était vêtu d'un pagne de cuir noir, une chemise de soie pourpre et d'une longue cape à coiffure noire elle aussi. Maintenant il pouvait voir le visage de sa proie qui etait devenue l'agresseur.
Des cheveux courts et bruns, des yeux marrons, injectés de sang par la rage qu'il venait de déclencher. Un visage mince mais une forte ossature lui dessinait les contours faciaux.

Il détourna les yeux de son assaillant en direction de sa dague qui se trouvait à quelques pas derrière l'Aquilonien mais... aucune possibilité de la prendre.

Alors qu il se demanda ce qui allait lui arrivé et surtout, pourquoi un soldat Aquilonien etait si loin de chez lui; le poing droit du Gardien lui traversa le visage avec une violence telle que son nez fut écrasé et le sang gicla sur le visage de son agresseur.
L'aquilonien lâcha prise et le corps inerte du stygien s'écroula sur le sol.

-Je te rend ta dague serviteur de seth!

L'aquilonien saisit la dague, et la planta dans la poitrine de ce sale serpent , qui avait été assez prétentieux pour s attaquer à un Gardien Aquilonien.
Tout ça en lui chuchotant à l'oreille:

-Hylarion es mon nom, emporte le en enfer!!!

[HRP] quelle introduction de ton personnage! j'attend la suite [/HRP]

[HRP]
J'aime bien, c'est agréable !
[/HRP]

Accroupis, ma main serrait toujours l’ivoire des serpents entrelacés, les queues recourbées vers le haut formait la garde. Elle avait déchiquetée les chairs par la puissance de mon coup.
Jetant un oeil autour de moi, personne... Me redressant, ma main gauche avait agrippé une bourse bien remplie qui se balançait à son fourreau de cuir souple, incrusté de petites perles blanche. Le tissu noir était doux au touché, du velours ficelée par un ficelle
dorée.
La dague avait suivit mon bras droit une gerbe rouge sorti de la plaie, puis l’écarlate s’écoula sur le sol par son flanc gauche, en peu de temps les pavés de la ruelle reflétait la lune.
D’un revers de manche j’essuyais le sang sur mon visage, remis ma capuche qui avait tombée dans l’échauffourée, attachait la bourse sur ma ceinture a coté de la mienne. Je repris mon chemin pour enfin me rendre à l’auberge, la fatigue me gagnait et je ne pouvais pas importuner mon ami à une heure si avancée.


Me hâtant la nuit était fraîche, j'arrivais devant une porte de bois une faible lueur arrivait à peine à transpercer les petites fenêtres crasseuses. Mais je pouvais déjà sentir la chaleur lécher mon visage. Sans peine je poussais la porte, un léger sourire me vint en voyant ce feu au fond de la pièce et toutes ces tables vident qui me tendaient les bras. Je ne me fis pas prier et n'attendant pas non plus que l'on m’invite à entrer, je passais le seuil en refermant la porte derrière moi.
Un petit comptoir en bois marron foncé, supportait un homme grassouillet. Accoudé, tête entre les mains, il ne bougea pas. Il me fit juste le signe avec sa tête toute ronde de m approcher et de prendre place tête ( une queue de cheval avait fait un mouvement de pendule).

Me dirigeant vers la table la plus proche du foyer de cette immense cheminée, le froid de la nuit avait attaqué mes chairs, un peu de chaleur et un bon pichet de vin mettrons un terme à tout ces petits picotements.
je remarquais sur la gauche du comptoir dans l’ombre, un escalier qui menait aux chambres. Une fois assis je commandais un pichet de vin. L’homme se penchait avec un grand soupir, presque de désespoir et sorti un pichet dessous le comptoir, me l'apporta avec une grande timbale.
Les flammes dansaient et crépitaient sur un grosse bûche, je descendis ma capuche sur mes épaules, pour que mon visage profite de la douce chaleur.

La première timbale à peine servit fut vidée en une seule traite, tout en me réservant une seconde. Je pouvais enfin prendre le temps de voir qui se tenait prêt de la porte, j’avais pu sentir comme le souffle d’un taureau derrière moi.
Un colosse , encore plus noir que le charbon se tenait debout derrière la porte bras croisés. Sûrement un esclave qui servait de garde du corps à l’aubergiste, il devait avoir la force d’un taureau. L’attaquer de front serait présomptueux pour un homme qui n’était pas entraîner au combat au corps à corps, il me dévisageait avec des gros yeux noirs et ronds. Sans prêter plus d attention à son regard je vidais ma timbale, la chaleur avait gagné mon corps, le feu avait pas tout fait le vin y était aussi pour beaucoup.
Une dernière fut englouti et je pris la direction des escaliers, l’aubergiste me dit que la chambre était celle au bout du couloir, et que ça faisait cinq pièces d’or.
Sans un mot, je piochais dans ma bourse et les déposa sur le bout du comptoir en passant.

Un long couloir éclairé par des lanternes , menait à ma chambre. Un simple lit la meublait, la faible lueur de la bougie posée sur une tablette éclairait à peine la petite pièce. Aucune importance le luxe de la chambre, je tombais de fatigue. Après ces trois jours sans dormir, je dégrafais le fermoir de mon encolure qui maintenait la cape , et la déposa au pied du lit. Le sommeil m emporta à peine allonger.


[hrp] suite, je l'avais déjà poster mais sa me plaisait pas du tout alors je l'ais retravailler [hrp]

[HRP] L'ambiance port, pirate, voleur et auberge est très bien trouvé pour ton aventure !!!! [/HRP]

Bon je doit être parano , mais comme aucun commentaire a été posters Je suposes que c'est pas terrible

Merci à ceux qui ont pris la peine de lire.

Et bien moi j'ai trouvé le temps de te lire et je trouve cela très bien.
Je me réjouis de comprendre pourquoi tant de tourments habillent tes nuits de sommeil.
Au plaisir de te relire,

Keira

[hrp]Alors pour ma part je trouve ton récit très bien! les idées, les nombreuses descriptions j'ai noté pas mal de fautes et de tournure de phrase un peu "space"... ce qui le rend un peu pesant à lire mais c'est sympa ton style descriptif et ça permet plus d'immersion J'espère que mon avis te sera utile...[hrp]

[hrp]+1 Goldo. Je pense la même chose, l'histoire est bien, le style aussi (à part certaines fois mais je mets ça sur le dos de la fatigue) mais le truc c'est les fautes d'orthographe. Bon j'avoue on est pas à Harvard, mais une rapide relecture suffirait à éclaircir ton récit. Notes bien que je ne critique pas pour critiquer hein, j'essaye d'etre constructif en pensant que tu voudrais probablement bien avoir ton BG dans la bibliotheque du camp.[hrp]