[Kalidor, la légende d'un Cimmérien]

par **Kuryakyn** Ven 1 Fév - 13:06

Prologue

Cela faisait plusieurs jours que Djart errait dans les plaines de Khorshemish, il avait fuit la milice Ophirienne qui voulait lui faire justice de l’avoir trouvé un matin dans les jardins du palais en compagnie de la fille de l’intendant de Ianthe, ce qui le surpris d’autant qu’il pensait avoir courtisé une des servantes. L’intendant ayant assez mal prit la chose, il avait fait écarteler sa propre fille et avait envoyé une vingtaine d’homme à sa poursuite.

Ce matin là, alors qu'il arrivait aux abords de la rivière rouge, Djart vit un campement, son premier réflexe fut bien évidemment de se jeter dans les premiers fourrés avoisinants. Il avait tellement faim que s’il avait eu une once de courage, il aurait attaqué le camp avec pour seule arme un morceau de bois attrapé au passage. Néanmoins, il se risqua à ramper en direction du campement, espérant bien ainsi mettre la même sur quelques victuailles laissées éloignées par mégarde. Selon son estimation, il n’y avait qu’une femme sur le camp, c’était une guerrière Aquilonienne, elle n’avait pas l’air commode et il estima qu’il valait mieux ne pas se faire attraper.

Alors qu’il essayait d’attraper un morceau de viande suffisamment éloignée du feu, il fut arrêté par la désagréable sensation que procure une lame d’épée encore froide de la rosée matinale venant s’appuyer contre votre gorge.

- Pitié, pitié non pitié, hurla-t-il, alors qu’il se retournait pour constater que l’Aquilonienne se tenait debout derrière lui.

Son regard était sombre, elle ne dit rien et lui fit signe de se relevé, ce qu’il fit sans hésiter.

- Qui es-tu et que viens-tu faire ici ?
- je me nomme Djart, j’ai faim, c’est tout, juste faim, je ne vous veux aucun mal, promis, j’ai juste faim.

Elle s’appelait Sonja et avait établi son camp la nuit précédente. Cela faisait quelques minutes qu’elle avait repéré Djart, elle attendait juste le bon moment pour le surprendre, celui ou il serait le plus vulnérable, celui qu’elle a choisi alors qu’il était couché, rampant sur le sol.

- Et que fais-tu perdu dans cette région seul, sans armes et sans monture l’ami, lui demanda-t-elle.
- Disons que j’ai du partir en laissant derrière moi des choses qui m’aurait paru bien utile en de telles circonstances et que cela ne fut pas de mon fait.

Elle lui proposa de s’asseoir autour de son feu où grillaient quelques pièces de viande dont il ne put définir la provenance mais dont le fumé le laissait saliver. Il n’avait pas mangé, pas eu le temps non plus d’ailleurs, depuis plusieurs jours.

- Tu mangeras bien un bout, tu en as surement plus besoin que moi vu comme tu es épais

Il savait être chétif, mais n’appréciait guère qu’on le lui fasse remarquer, cependant, Sonja était le genre de femme qui pouvait tout dire, elle avait apparemment suffisamment d’expérience à l’épée pour que peu d’homme se sentent offensé ou du moins, essaye de répondre.
Elle lui tendit un morceau de viande qu’il engrangea immédiatement.

- Et bien, ton appétit est plus à plaindre que je ne le pensais, fit-elle, prends en donc encore, j’ai de quoi subsister quelques jours encore.
- Par Crom, que c’est bon !

Sonja s’immobilisa, tenant une pièce de viande encore crue dans la main, elle se retourna vers Djart et le fixa un instant. Djart senti bien évidemment son regard, il avait appris avec le temps à repérer tous les signes qui lui permettrait de rester en vie et se faire observer en était un.

- Es-tu Cimmérien ? demanda-t-elle hésitante

Djart la trouva encore plus belle qu’elle ne l’était dans cette état fébrile, elle avait perdu cette arrogance qu’on les plus grand guerrier et il ne voyait plus en elle qu’une femme inquiète. Il n’était pas Cimmérien et tout ce qu’il connaissait de cette race était ce que les anciens de son village en disaient.

- Non, pourquoi ?
- Tu viens de jurer par Crom et cela est Cimmérien.

Son état d’inquiétude n’avait duré qu’un bref instant, à nouveau, elle avait retrouvé sa splendeur et c’est de haut qu’elle s’exprimait maintenant. Il hésita un instant, il eu peur de mal répondre, avait-il offensé une cimmérienne et si tel était le cas comment allait-il fuir. Cependant, il pensait que si elle était Cimmérienne, il aurait déjà perdu sa tête car un tel affront, celui de se faire passer pour un Cimmérien, celui de jurer comme un Cimmérien, demandait en général une réparation immédiate et sans procès.

- Je l’ai fais involontairement, j’ai du l’entendre et j’ai trouvé ça bien alors je le répète parfois.

Le ton de Sonja changea, elle était plus irascible qu’auparavant, elle n’était effectivement pas Cimmérienne mais cela l’a contraria.

- As-tu seulement idée de qui sont les Cimmériens ?
- Non, on m’en a parlé quelques fois mais je n’en ai jamais vraiment vu, mais pourquoi ? T’ais-je offensé ?

Elle perdu un peu de son ton sombre, il ne voulait apparemment ne vexer personne et elle le comprit bien.

- J’ai connu un Cimmérien, il y a quelques temps, le plus grand parmi les grands…

Elle regarda le ciel comme pour y trouver une étoile disparue depuis longtemps, inspira à grand poumon et reprit.

- Il s’appelait Kalidor, assied toi et écoutes bien son histoire, car c'est l'histoire d'une légende.

Naissance d'une légende
L'enfant sauvage

par **Kuryakyn** Ven 1 Fév - 16:36

[HRP]
Je ne l'ai pas précisé, mais bien évidemment j'attends vos commentaires.
[/HRP]

par **Goldorius** Ven 1 Fév - 16:47

[HRP]
Pour ma part je trouve ce petit préambule tres bien ecrit, et je n'ai qu'une envie... m'asseoir pret du feu et d'écouter parler Sonja...

Donc un seul commentaire, la suiiite ! Wink

[/HRP]

par **Morrigan** Ven 1 Fév - 17:09

[HRP]
Même réaction que Goldorius, c'est très sympa à lire !
Peut-être devrais-tu développer pourquoi Sonja raconte cette histoire non ?
Au plaisir de lire la suite !
[/HRP]

par **Kuryakyn** Ven 1 Fév - 17:13

[HRP]
Aie !! Je pensais qu'il était clair qu'elle raconte l'histoire pour expliquer à Djart qui sont les Cimmériens, mais apparemment je me suis loupé.
[/HRP]

par **Argan** Ven 1 Fév - 17:14

[HRP] moi j'avais compris pourquoi. Sinon c'est bien![/HRP]

par **Morrigan** Ven 1 Fév - 17:26

[HRP]
Non ben je me suis craqué ^^ ! C'est clair en fait Very Happy

!
[/HRP]

par **Kuryakyn** Ven 1 Fév - 17:29

[HRP]
Avoue que tu avais pas tout lu !!!!!
[/HRP]

par **Morrigan** Ven 1 Fév - 17:57

[HRP]
Bon tu l'écris la suite ? J'ai vraiment hâte là !
On en sait rien sur toi !!! Wink

[/HRP]

par **Wasko** Ven 1 Fév - 18:00

Je voudrais bien critiquer mais je sais pas lire ............ alors Continue comme ca Kalidor, c'est bien long donc ca doit etre bien ( belle argument hein? lol )

Je fais vraiment de belle vanne en ce moment ...

par Invité Ven 1 Fév - 21:10

[HRP]
Bien joué, j'accroche bien sur l'idée du préambule qui rempli bien ici sa désignation, idem le cheminement géographique de Djart colle bien à l'univers d' Howard Wink

[/HRP]

par **Kuryakyn** Sam 2 Fév - 0:56

Naissance d’une légende

Thallium était un village situé à la source du Fleuve du tonnerre, aux frontières pictes et aquiloniennes. Cette position lui valait d’être attaqué perpétuellement par l’une ou l’autre nation, toute deux souhaitant mettre main basse sur la Cimmérie.

Conan n’était pas encore souverain et Numedides III, souverain des aquiloniens, souhaitait plus que n’importe qui étendre son royaume. Kalidor n’avait que dix ans, son père Enobium était le forgeron du village et sa mère Zenobie était bien entendu la plus belle femme. Elle fut en son temps convoité par tous les guerriers et c’est au prix de sanglants combats qu’elle fut liée à Enobium.

Un des intendants de Korvela, un picte sanguinaire, avait été envoyé en Cimmérie afin d’augmenter les forces en place. Une fois la bataille remportée, il y établirait sa nouvelle intendance. Il avait, accompagné de ses hommes, réussit à prendre le contrôle de Thallium, contrôle somme toute éphémère car nul Cimmérien ne resterait en vie sans se battre sous le joug d’un oppresseur.

Un soir, alors que les pictes patrouillaient, Enobium sorti de la maison afin de récupérer quelques rondins de bois.

- Et toi ! Ou vas-tu donc comme ça ? demanda l’un des guerriers.

- Nul par, picte, je m’en vais juste prendre du bois, passe ton chemin et va donc boire tant que tu peux !

Les Cimmériens étaient fiers. Ils auraient préféré mourir plutôt que de se répandre en excuses. Personnes, d’ailleurs, n’a pu un jour prétendre avoir vu un Cimmérien s’excuser. Les pictes le savaient, et aucun n’aurait osé risquer de déclencher une émeute en punissant publiquement un Cimmérien. Leur contrôle était toléré mais encore bien fragile.

Ce soir là, un capitaine un peu zélé s’y risqua. Il s’avança vers le Cimmérien et sans nul autre mot, enfonça son épée juste au niveau de l’abdomen. Enobium ne s’y attendait pas, son excès de fierté mêlée à son arrogance l’avait désarmé face à ce picte.

- Qu’avez-vous fait mon capitaine ? hurla aussitôt un des guerriers, nous allons au delà de graves ennuis et je ne voudrais pas être celui qui annoncera cela à l’intendant Korvela.

- Oui, nous devrions faire en sorte de protéger nos arrières, entre immédiatement et amène moi les autres occupants !

- A vos ordres mon capitaine !

Quelques instants plus tard, le picte sorti en tenant par les bras, Zenobie et Kalidor. Lorsque Kalidor vit son père couché sur le sol aux pieds du capitaine, il n’hésita pas un instant et se rua sur celui-ci. Le capitaine n’eu pas de mal à se débarrasser de cet enfant d’une simple gifle qui sur le moment paru être un coup de masse pour Kalidor.

- Approche cimmérienne, retiens ton fils ou il ira rejoindre son père !

Zenobie s’approcha pour relever Kalidor, elle avait bien évidemment elle aussi vu le corps d’Enobium mais elle pensa tout d’abord à son fils.

- Soldats, avez-vous déjà vu une aussi belle femelle ? dit le capitaine en apercevant de plus près Zenobie.

- Pour sûr non mon capitaine, ce cimmérien ne méritait pas autant de beauté pour sûr !

- Attrapez-moi cet enfant ! Qu’il se tienne tranquille !

Le capitaine jeta alors Zenobie au sol. Ce n’était pas une femme facile, elle rendit chacun de ses coups à son assaillant. Il n’avait pas l’intention d’abandonner l’idée qu’il s’était fait d’une bonne soirée.

- Calme-toi cimmérienne ! Ou t’en fils en subira les conséquences !

Zenobie eu peur. Non pas pour elle car elle était cimmérienne, mais pour la vie de son fils. Elle se résigna, et sous les yeux de Kalidor, le capitaine la viola.

- N’oubli pas cimmérienne ! Que chacun croient que ton époux est parti sinon ton fils mourra !

Le capitaine avait fini ses méfaits et avait ainsi donné ses consignes. Zenobie devait faire croire aux villageois qu’Enobium était parti pour affaire. Si elle ne suivait pas ses instructions, son fils serait le premier à mourir dans la bataille.

Cela faisait quelques heures que Kalidor consolait sa mère du chagrin qui l’accablait. Elle finit par s’endormir. Kalidor alla directement saisir l’épée de son père accrochée au dessus de la cheminée. Il prit soin de bien l’harnacher dans son dos afin qu’elle ne glisse pas. Il se passa de la terre sur le visage afin d’en masquer chacun des traits comme il l’avait apprit. Il se glissa par la lucarne de derrière atteignant ainsi les bosquets. Ce camouflage de fortune lui permit d’arriver jusqu’au camp picte sans se faire remarquer.

Il arriva à l’enceinte du camp et entreprit de l’escalader. La tache lui fut aisé vu son faible poids. Une fois de l’autre coté, il repéra les lieux et reconnu immédiatement la tente du capitaine à sa décoration excessive. Il avança, se dissimulant au grès des cachettes possibles, jusqu'à celle-ci.

- Vous n’auriez pas du faire cela mon capitaine, je crains que la cimmérienne ne finisse par parler.

- Tais-toi ! Je n’ai pas besoin des conseils d’un simple soldat ! Sors !

Kalidor jugea que le moment était idéal pour frapper. Il se faufila à l’intérieur, juste dans l’ombre de l’un des pants. Cette position le plaçait dans le dos du capitaine assit à lire des documents militaires. Un rapide coup d’œil permit à Kalidor de voir que celui-ci était seul. Il leva lentement l’épée au dessus de sa tête. Et dans un mouvement sec, l’abattit sur la tête de l’homme qui avait tué son père. Le coup porté à la base du cou la fit rouler sur le sol. La vengeance était sienne.

Lentement il recula et sorti de la tente, prit le chemin inverse, refranchit l’enceinte et s’enfonça dans les bois. Il n’avait pas le courage de rentrer, prendre le risque de voir sa mère éveillée. Il s’allongea contre un arbre et s’endormit un peu soulagé.

Une odeur de brulé le réveilla soudain, les bois baignaient dans une lumière rougeâtre. Aussitôt il couru vers le village pour découvrir l’horreur d’une vengeance plus grande que la sienne. Les pictes avaient tué tout les siens et mis le feu aux maisons. Il aurait voulu les tuer tous.

Prologue
L'enfant sauvage

par **Kuryakyn** Sam 2 Fév - 14:54

[HRP]
hein ? personne n'a le courage le lire ce tout petit texte ?
Ou alors c'est si mauvais que ça ?
Ou même si beau que vous en restez sans voie ?
[/HRP]

par **Argan** Sam 2 Fév - 14:59

[HRP] je l'ai lu hier soir. Par contre ca me fait penser au début de Conan , mais avec certains détails qui changent...[/HRP]

par **Kuryakyn** Sam 2 Fév - 15:13

[HRP]
C'est vraiment pas volontaire, faire du plaggia ne m'interresse pas, mais je ne voyait pas comment faire autrement que la mort de tout ceux qu'il connait afin qu'il devienne le barbare idéal, ou alors à la Spartiate peut-être.
[/HRP]

par **Argan** Sam 2 Fév - 15:23

[HRP] oui c'est vrai... en même temps les cimmériens n'ont pas vraiment l'éducation à la spartiate. enfin je ne croix pas... personnelement, pour mon personnage, je lui donne cette dimension de barbare naturellement, et, même si je n'ai pas écris le bg par manque de talent, Argan obtiens son aptitude et sa rage au combat, à la guerre dans le grand nord. Ensuite c'est vrai que pour Kalidor je ne sais pas qu'elle trait de caractère tu veux lui donner exactement...[/HRP]

par **Kuryakyn** Sam 2 Fév - 15:50

[HRP]
Je voulais qu'il soit barbare (dans le sens guerrier du terme) dès son plus jeune age afin que cela soit plus naturelle, devenir un barbare naturellement (comme tu le sous entend) lui donnerai un coté sociable, dû à sa vie "normale" d'avant, et ça je ne le voulais pas pour Kalidor.
[/HRP]

par **Morrigan** Sam 2 Fév - 18:18

[HRP]
Vraiment Excellent Kalidor ! Très bien fait !
[/HRP]

par **Kuryakyn** Jeu 13 Mar - 17:59

L’enfant sauvage

La place du marché de Khrosha était bondé par les paysans venant faire leurs courses comme à l’accoutumé. Les veilleurs sillonnaient les rues et vérifiaient le bon déroulement des festivités. En effet, les jours de marché, les danseurs, chanteurs et autres troubadours profitaient de la présence des paysans pour essayer de gagner quelques menues monnaies.

Un marchand de fruit et légume, d’allure peu ragoutante, criait les bienfaits de ses produits et leurs prix modiques. Les paysans l’écoutaient qu’à moitié lorsqu’un hurlement se fit entendre, il se mit à lever les bras en l’air en courant autour de son étale, devant, un jeune garçon tentait de lui échapper une pomme à la main.

- Au voleur ! il me tue ! arrêtez-le !

Cette soudaine animation attira quelques paysans supplémentaires mais aussi la milice locale. Aussitôt, les six hommes de garde se placèrent autour de l’étale et tentèrent d’attraper le garçon. Le plus imposant des gardes se plaça pile au milieu du chemin afin de lui couper la route. Le jeune homme arrivant sur le garde se laissa tomber par terre et glissa entre les jambes du garde, une dague dans chaque main, il sectionna les muscles au niveau des genoux, le garde se laissa tomber dans des cris et des convulsions de douleurs.

Kalidor, car il s’agissait bien de lui, se releva aussitôt et se rua sur les deux gardiens qui arrivaient, il n’avait alors que quinze ans mais sa détermination et sa force n’avaient pas attendue le nombre des années. Il sauta pieds en avant sur celui de gauche qui s’effondra à la renverse, roulant sur le coté, il planta l’une de ses dagues dans le pied du second, le clouant ainsi au sol. Les trois derniers, hésitèrent puis ne bravant que leur courage fuir à travers les paysans laissant le marchand seul face à Kalidor, une pomme entre les dents.

- Pitié, monseigneur, pitié !

Le marchand savait ses jours compté, le regard de Kalidor ne le trompait pas. Il s’avança vers l’homme et doucement, lui enfonça sa dague dans la gorge. Une goutte sang commença à perler, Kalidor s’arrêta et regarda la foule, nul n’avait bougé, pas un seul n’était intervenu. Il recula, s’approcha de l’étale, prit quelques autres fruits supplémentaires et en quelques pas et quelques bonds disparu des regards réprobateurs de l’assistance.

Plus tard, dans quelques années, Kalidor sauvera la vie de cet homme et jamais il ne fera le rapprochement avec cet enfant alors sauvage. Mais Kalidor lui, ne l’oubliera jamais, aujourd’hui il aurait pu tuer un innocent. Il avait déjà tué beaucoup, mais toujours pour sauver sa vie. Il lui fallait se faire réhabiliter avant qu’il ne soit trop tard.

Prologue
Naissance d'une légende

par **Morrigan** Jeu 13 Mar - 18:10

[HRP]
Héhé ! Tout ça pour une satanée pomme ! Twisted Evil

Un conseil : rajoute le texte aussi à la fin de ton premier post pour ceux qui arriveraient en retard pour le lire.
[/HRP]

par **Kuryakyn** Jeu 13 Mar - 18:30

[hrp]
J'ai plutôt préféré mettre un lien vers les autres chapitres dans chacun.
[/hrp]

par **Morrigan** Jeu 13 Mar - 18:34

[HRP]
Oui très bien ! Smile

[/HRP]

par Invité Mer 9 Avr - 16:56

[HRP] Très bon BG barbare je trouve. Pour quand la suite ? [/HRP]

par **Kuryakyn** Mer 9 Avr - 18:12

[HRP]
Je suis assez pris en ce moment avec le boulot, en plus je dois finir la version book, ensuite je m'y recolles, promis.
En tout cas, merci du compliment.
[/HRP]

par **Luthor** Mer 9 Avr - 23:32

[HRP]
C'sest trés bien tout cela,mais je vais tomber un oeil. La police un chuya plus grand merci Kalidor. Smile

au plaisir de lire la suite.
[/HRP]

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[Kalidor, la légende d'un Cimmérien]

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