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Etta lame superbe, Chap 1
par Etta Lun 28 Avr - 1:29
Chapitre 1: Premier sang
Noirs étaient tes yeux, commes les ailes d'un corbeau annonciateur de malheur, comme la nuit qui t'a vue naitre.
Cette fameuse nuit avait commencé comme toutes les autres. J'étais à l'entrée, comme toujours, habillé de ma vieille veste de satin rouge, pour que tout le monde sache qui je suis. J'étais à l'entrée chaque soir, depuis plus de dix ans. Le patron a toujours insisté pour que je surveille les clients et les filles, il savait qu'au moindre problème, je n'hésiterai pas à mettre ma vie en péril pour assurer la sécurité de ses protégées.
Les clients étaient peu nombreux depuis quelques temps. La nouvelle qu'une fille était tombée enceinte s'était répendue et ne plaisait pas, quel genre de maison pouvions-nous être si nous ne traitions pas nos protégées contre ce genre de désagrément. De plus, certains prétendaient que le patron avait décidé de garder l'enfant pour une raison obscure, et ce dernier m'avait éconduit à chacune de mes tentatives pour en savoir plus à ce sujet. Etthé n'était donc-t-elle pas tombé enceinte par hasard?
Les premiers jours, elles restait mystérieuse et me menaçait d'en parler au patron si je continuais à lui poser toutes ces questions. Elle, si douce, qui m'avait toujours traité avec égard, me parlait à présent avec distance et évitait toute forme de confrontation. Puis, elle tomba malade... du moins c'est ce que le patron nous expliqua: "elle ne peut plus travailler, je l'ai envoyé dans une maison de repos discrète, évitez donc toute explication qui nuirait à notre réputation si un client pose des questions..."
Voilà, comme toujours, direct, pas de question, pas de discussion.
Ce cri, horrible, emplit d'effroi et de peur... et humain, horriblement humain. J'aurais pu reconnaitre cette voix entre toutes, déchirée, pleine de souffrance, mais je la reconnus. Je ne sais alors quelle étrange force s'empara de moi, j'enfonçait la porte menant au bureau du patron, à la recherche d'Etthé, fou...
La petite salle était vide, pour seul meuble un bureau d'if et une vieille chaise de rotin. Comme toujours une bougie brulait à même la table, éclairant une fine pile de papier écrasée par un encrier et une plume de crystal à pointe d'or, seule marque de richesse dans cette pièce sombre.
Une plainte, comme un vague râle étouffé, se fit entendre au travers des planches du parquet. Je traversai la pièce en quelques pas pour atteindre la trape dissimulée derrière le bureau. J'avais remarqué cette ouverture bien des années auparavent, mais m'était bien gardé d'en faire la remarque à quiconque, ne voyant aucun intérêt à découvrir les secret que pouvait cacher l'homme qui me payait depuis déjà plusieurs années.
Je me dirigeais donc vers le bureau et tirait le petit anneau de fer, je fus surpris par le poid du panneau de bois. Je souriais étrangement à l'idée du petit homme maigrichon à qui appartenaint les lieux.
Lorsque je pénétrait dans le sous-sol obscur, je fus saisi par une forte odeur de souffre, mes yeux irrités s'imbibèrent de larmes. Je regardai autour de moi,cherchant à percer une lueur dans l'obscurité de cette pièce. Je perçus un encadrement de porte à quelques pas de moi, révélés grâce à la lumière faible qui se propageait par-dessous. Je titubais vers cette dernière, maladroit... La porte était fermée, aucune poignée, j'effectuais une forte poussée de l'épaule,
sans résultats. Un nouveau gémissement se fit entendre derrière la porte, juste derrière, à quelques pas de moi, quelques centimètres.
Dans un accés de rage, je hurlais, m'élançant contre la porte, faisant craquer le bois qui libérat les charnières dans un déchirrement bruyant. La porte céda totalement sous mon poid et je l'accompagnais jusqu'au sol ou je m'écroulais à plat ventre.
Je regardai autour de moi, la pièce était totalement enfumée, aucun meuble, quelques bougies le long des murs et un brasero au centre de la pièce dégageait une étrange fumée noire à l'odeur irritante. L'homme que j'appelais depuis des années "patron" se tenait derrière ce brasero, un livre dans la main droite et une dague à la lame noire dans la gauche. Il psalmodiait dans une langue inconnue et décrivait des gestes avec la dague tout en gardant les yeux rivés sur son livre, il semblait ne même pas avoir perçu ma présence. Alors que je regardais avec stupéfaction cette scène cauchemardesque, je remarquais que la fumée du brasero prenait la forme d'un visage humain, un visage sévère, effrayant, qui me fixait, regardant mon âme par-delà les tissus de chaire et d'os.
Un petit bruit attira néammoins mon attention vers le sol où un nourrisson en pleur se tortillait, juste aux pieds de l'homme à la dague. Il était encore enduit de sang, surement venait-il à peine de sortir du ventre de sa mère.
Sa mère... pourquoi ne l'avais-je pas vu plus tôt. Juste sur ma gauche, dans le coin de la pièce, Etthé... Elle était allongée, à peine habillée d'une robe blanche recouverte de sang. Ses traits tirés, son teint pâle révélaient son épuisement... elle avait les yeux ouverts mais le regard vague, je compris immédiatement qu'elle non plus ne m'avait pas vu.
Je fus immédiatement extrait de mes observations lorsque la voix de l'homme derrière le brasero s'emplifia. Le visage de fumée avait disparu pour laisser place à un corps complet qui se déplaçait dans la pièce, quitant le brasero pour venir s'agenouiller auprés de l'enfant. Je sentais le sang battre violemment dans mes tempes, mes muscles endoloris ne s'autorisant aucun mouvement, la sueur glissant sur mon front et le long de mon dos. Mais la vue de ce démon de fumée sur l'enfant d'Etthé me donna la force de me relever, poussé par ce mélange de rage et d'effroi...
Sans réfléchir, j'envoyai valser le brasero au sol d'un coup de pied malhabile, les braises se répendirent dans la pièce pour atterrir au pied de l'homme qui remarqua enfin ma présence. Sans un mot, il s'écarta des flammèches qui prenaient au planchet, me dardant de son regard sombre et agitant sa lame dans tous les sens en continuant sa lythanie incompréhensible. J'entendit l'enfant pleurer et aperçu de petites flammes se rapprochait dangereusement de son petit être. Je me précipitai et le prenai dans mes bras, croisant une fois de plus le regard du démon de fumée. Ce dernier, toujours à genoux, immobile, juste face à moi, me regardait paisiblement, comme si les évènements en cours ne le concernait pas. Je restai de nouveau immobile, accroché à ce regard incompréhensible, lorsque je sentis le fer brûlant de la dague pénétrer les chaires de mon épaule pour venir se ficher dans l'os. Je tombai en arrière, tenant toujours l'enfant contre moi malgrés la douleur insupportable.
L'homme me dominait, l'empreinte de la folie et du sadisme se mêlaient à ses prunelles sombres qui me fixait alors que la lame s'abattai une fois de plus.
Elle m'atteignit encore, marquant mon visage d'une estafilade partant du front et se frayant un chemin jusqu'à ma joue, passant par chance à côté de mon oeil droit. Je hurlais de douleur et de peur lorsqu'il leva une troisième fois son arme. Je saisit ce court moment pour heurter de mon pied gauche son genoux, le faisant chuter sur plusieurs braises encore incandescentes. Le feu prit rapidement à ses vêtements, accompagné des hurlements d'un homme qui sent sa peau
bouillir puis fondre et se détacher de ses os. Je vis avec horreur que la créature d'ombre s'était agenouyée à côté de lui pour l'observer dans ses dernières souffrances.
J'eus du mal à me lever, portant l'enfant d'un bras, titubant vers la porte, lançant des coups d'oeil furtifs derrière moi où le corps sans vie continuai à brûler sous un regard de fumée. Arrivé au pas de la porte, je regardai une dernière fois le visage de cette putin qui avait été ma protégée préférée, juste à temps pour voire la dernière lueur de vie s'éteindre en elle. Je me demande encore aujourd'hui si dans son regard il n'y avait pas eu ce dernier espoir, comme si elle m'avait vu prendre dans mes bras son enfant pour lui donner à son tour la protection que je lui avais procuré pendant tellement d'années.
Je sortais dans la rue... de la ville... de ma vie... de ce que j'avais été...
Tu as les mêmes yeux qu'elle, sa chevelure aussi... un jour tu seras femme et peut-être, alors, voudras-tu connaître ton histoire, celle des tiens, des êtres qui t'ons aimé.
Je n'aurais hélas pas le temps de te raconter tout ça, ma chérie, mon enfant. Le temps ne guérit pas toutes les blessures, et je sais aujourd'hui que tu n'es plus en sécurité avec moi, une ombre nous poursuit. Ajourd'hui je sais qu'elle a toujours été là, depuis le jour de ta naissance.
J'écris ces quelques traces de nos passés et te laisse aux soins de la dernière personne en qui j'ai confiance, puisse-t-elle te sauvegarder des malheurs de ce monde...
Adieu. Vargas.
Noirs étaient tes yeux, commes les ailes d'un corbeau annonciateur de malheur, comme la nuit qui t'a vue naitre.
Cette fameuse nuit avait commencé comme toutes les autres. J'étais à l'entrée, comme toujours, habillé de ma vieille veste de satin rouge, pour que tout le monde sache qui je suis. J'étais à l'entrée chaque soir, depuis plus de dix ans. Le patron a toujours insisté pour que je surveille les clients et les filles, il savait qu'au moindre problème, je n'hésiterai pas à mettre ma vie en péril pour assurer la sécurité de ses protégées.
Les clients étaient peu nombreux depuis quelques temps. La nouvelle qu'une fille était tombée enceinte s'était répendue et ne plaisait pas, quel genre de maison pouvions-nous être si nous ne traitions pas nos protégées contre ce genre de désagrément. De plus, certains prétendaient que le patron avait décidé de garder l'enfant pour une raison obscure, et ce dernier m'avait éconduit à chacune de mes tentatives pour en savoir plus à ce sujet. Etthé n'était donc-t-elle pas tombé enceinte par hasard?
Les premiers jours, elles restait mystérieuse et me menaçait d'en parler au patron si je continuais à lui poser toutes ces questions. Elle, si douce, qui m'avait toujours traité avec égard, me parlait à présent avec distance et évitait toute forme de confrontation. Puis, elle tomba malade... du moins c'est ce que le patron nous expliqua: "elle ne peut plus travailler, je l'ai envoyé dans une maison de repos discrète, évitez donc toute explication qui nuirait à notre réputation si un client pose des questions..."
Voilà, comme toujours, direct, pas de question, pas de discussion.
Ce cri, horrible, emplit d'effroi et de peur... et humain, horriblement humain. J'aurais pu reconnaitre cette voix entre toutes, déchirée, pleine de souffrance, mais je la reconnus. Je ne sais alors quelle étrange force s'empara de moi, j'enfonçait la porte menant au bureau du patron, à la recherche d'Etthé, fou...
La petite salle était vide, pour seul meuble un bureau d'if et une vieille chaise de rotin. Comme toujours une bougie brulait à même la table, éclairant une fine pile de papier écrasée par un encrier et une plume de crystal à pointe d'or, seule marque de richesse dans cette pièce sombre.
Une plainte, comme un vague râle étouffé, se fit entendre au travers des planches du parquet. Je traversai la pièce en quelques pas pour atteindre la trape dissimulée derrière le bureau. J'avais remarqué cette ouverture bien des années auparavent, mais m'était bien gardé d'en faire la remarque à quiconque, ne voyant aucun intérêt à découvrir les secret que pouvait cacher l'homme qui me payait depuis déjà plusieurs années.
Je me dirigeais donc vers le bureau et tirait le petit anneau de fer, je fus surpris par le poid du panneau de bois. Je souriais étrangement à l'idée du petit homme maigrichon à qui appartenaint les lieux.
Lorsque je pénétrait dans le sous-sol obscur, je fus saisi par une forte odeur de souffre, mes yeux irrités s'imbibèrent de larmes. Je regardai autour de moi,cherchant à percer une lueur dans l'obscurité de cette pièce. Je perçus un encadrement de porte à quelques pas de moi, révélés grâce à la lumière faible qui se propageait par-dessous. Je titubais vers cette dernière, maladroit... La porte était fermée, aucune poignée, j'effectuais une forte poussée de l'épaule,
sans résultats. Un nouveau gémissement se fit entendre derrière la porte, juste derrière, à quelques pas de moi, quelques centimètres.
Dans un accés de rage, je hurlais, m'élançant contre la porte, faisant craquer le bois qui libérat les charnières dans un déchirrement bruyant. La porte céda totalement sous mon poid et je l'accompagnais jusqu'au sol ou je m'écroulais à plat ventre.
Je regardai autour de moi, la pièce était totalement enfumée, aucun meuble, quelques bougies le long des murs et un brasero au centre de la pièce dégageait une étrange fumée noire à l'odeur irritante. L'homme que j'appelais depuis des années "patron" se tenait derrière ce brasero, un livre dans la main droite et une dague à la lame noire dans la gauche. Il psalmodiait dans une langue inconnue et décrivait des gestes avec la dague tout en gardant les yeux rivés sur son livre, il semblait ne même pas avoir perçu ma présence. Alors que je regardais avec stupéfaction cette scène cauchemardesque, je remarquais que la fumée du brasero prenait la forme d'un visage humain, un visage sévère, effrayant, qui me fixait, regardant mon âme par-delà les tissus de chaire et d'os.
Un petit bruit attira néammoins mon attention vers le sol où un nourrisson en pleur se tortillait, juste aux pieds de l'homme à la dague. Il était encore enduit de sang, surement venait-il à peine de sortir du ventre de sa mère.
Sa mère... pourquoi ne l'avais-je pas vu plus tôt. Juste sur ma gauche, dans le coin de la pièce, Etthé... Elle était allongée, à peine habillée d'une robe blanche recouverte de sang. Ses traits tirés, son teint pâle révélaient son épuisement... elle avait les yeux ouverts mais le regard vague, je compris immédiatement qu'elle non plus ne m'avait pas vu.
Je fus immédiatement extrait de mes observations lorsque la voix de l'homme derrière le brasero s'emplifia. Le visage de fumée avait disparu pour laisser place à un corps complet qui se déplaçait dans la pièce, quitant le brasero pour venir s'agenouiller auprés de l'enfant. Je sentais le sang battre violemment dans mes tempes, mes muscles endoloris ne s'autorisant aucun mouvement, la sueur glissant sur mon front et le long de mon dos. Mais la vue de ce démon de fumée sur l'enfant d'Etthé me donna la force de me relever, poussé par ce mélange de rage et d'effroi...
Sans réfléchir, j'envoyai valser le brasero au sol d'un coup de pied malhabile, les braises se répendirent dans la pièce pour atterrir au pied de l'homme qui remarqua enfin ma présence. Sans un mot, il s'écarta des flammèches qui prenaient au planchet, me dardant de son regard sombre et agitant sa lame dans tous les sens en continuant sa lythanie incompréhensible. J'entendit l'enfant pleurer et aperçu de petites flammes se rapprochait dangereusement de son petit être. Je me précipitai et le prenai dans mes bras, croisant une fois de plus le regard du démon de fumée. Ce dernier, toujours à genoux, immobile, juste face à moi, me regardait paisiblement, comme si les évènements en cours ne le concernait pas. Je restai de nouveau immobile, accroché à ce regard incompréhensible, lorsque je sentis le fer brûlant de la dague pénétrer les chaires de mon épaule pour venir se ficher dans l'os. Je tombai en arrière, tenant toujours l'enfant contre moi malgrés la douleur insupportable.
L'homme me dominait, l'empreinte de la folie et du sadisme se mêlaient à ses prunelles sombres qui me fixait alors que la lame s'abattai une fois de plus.
Elle m'atteignit encore, marquant mon visage d'une estafilade partant du front et se frayant un chemin jusqu'à ma joue, passant par chance à côté de mon oeil droit. Je hurlais de douleur et de peur lorsqu'il leva une troisième fois son arme. Je saisit ce court moment pour heurter de mon pied gauche son genoux, le faisant chuter sur plusieurs braises encore incandescentes. Le feu prit rapidement à ses vêtements, accompagné des hurlements d'un homme qui sent sa peau
bouillir puis fondre et se détacher de ses os. Je vis avec horreur que la créature d'ombre s'était agenouyée à côté de lui pour l'observer dans ses dernières souffrances.
J'eus du mal à me lever, portant l'enfant d'un bras, titubant vers la porte, lançant des coups d'oeil furtifs derrière moi où le corps sans vie continuai à brûler sous un regard de fumée. Arrivé au pas de la porte, je regardai une dernière fois le visage de cette putin qui avait été ma protégée préférée, juste à temps pour voire la dernière lueur de vie s'éteindre en elle. Je me demande encore aujourd'hui si dans son regard il n'y avait pas eu ce dernier espoir, comme si elle m'avait vu prendre dans mes bras son enfant pour lui donner à son tour la protection que je lui avais procuré pendant tellement d'années.
Je sortais dans la rue... de la ville... de ma vie... de ce que j'avais été...
Tu as les mêmes yeux qu'elle, sa chevelure aussi... un jour tu seras femme et peut-être, alors, voudras-tu connaître ton histoire, celle des tiens, des êtres qui t'ons aimé.
Je n'aurais hélas pas le temps de te raconter tout ça, ma chérie, mon enfant. Le temps ne guérit pas toutes les blessures, et je sais aujourd'hui que tu n'es plus en sécurité avec moi, une ombre nous poursuit. Ajourd'hui je sais qu'elle a toujours été là, depuis le jour de ta naissance.
J'écris ces quelques traces de nos passés et te laisse aux soins de la dernière personne en qui j'ai confiance, puisse-t-elle te sauvegarder des malheurs de ce monde...
Adieu. Vargas.
Etta- Grande Epée
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Re: Etta lame superbe, Chap 1
par Gimh Lun 28 Avr - 11:24
J'aime beaucoup ! C'est très bien écrit bravo Etta. 
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Re: Etta lame superbe, Chap 1
par Goldorius Lun 28 Avr - 14:02
[HRP] Comme Inanna et Gimh, excellent! j'ai pas tout de suite saisi ou se passait l'histoire au début, mais plus on avance plus ça se précise... et au final tout s'éclaire 
[/HRP]
[/HRP]
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Re: Etta lame superbe, Chap 1
par Morrigan Lun 28 Avr - 16:25
[HRP]
J'aime beaucoup aussi ! Je n'ai pas réussi à détourner les yeux de mon écran avant d'avoir lu les dernières lettres !!! GG
[/HRP]
J'aime beaucoup aussi ! Je n'ai pas réussi à détourner les yeux de mon écran avant d'avoir lu les dernières lettres !!!
GG[/HRP]
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Re: Etta lame superbe, Chap 1
par Etta Mar 29 Avr - 19:38
Merci bcp, quand j'aurais un peu de temps, je continuerai les Chroniques d'Etta.
Le personnage a été inventé pour AOC (et pour arkenston) mais il va aussi être joué en Jdr papier sur des règles dd3.5 (pour les connaisseurs^^). Ses aventures en jdr papier pourropnt venir enrichir le BG in game et vice versa.
Le personnage a été inventé pour AOC (et pour arkenston) mais il va aussi être joué en Jdr papier sur des règles dd3.5 (pour les connaisseurs^^). Ses aventures en jdr papier pourropnt venir enrichir le BG in game et vice versa.
Etta- Grande Epée
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Re: Etta lame superbe, Chap 1
par Néferménedj Jeu 1 Mai - 18:58
me tarde la version IG pour pouvoir faire nos premieres armes sur le terrain en mini groupe de fufus
Néferménedj- Epée à deux Mains
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Re: Etta lame superbe, Chap 1
par Abrax Ven 2 Mai - 13:11
Bravo ! Une magnifique introduction pour un solide BG.
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Re: Etta lame superbe, Chap 1
par Morrigan Ven 2 Mai - 23:18
Au fait Neferménedj tu as 20 levels de trop dans ton profil RP !
!
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Re: Etta lame superbe, Chap 1
par Etta Dim 4 Mai - 1:03
J'ai besoin d'un avis pour écrire la suite de mon BG
Mais je dois pas vous en dire trop^^ Mais j'aimerai que vous preniez une petite part à la construction du perso.
Alors je poste juste cette question:
Demain, tu sors du travail, il fait nuit... tu te dirige vers une taverne où tu sais que tu trouveras bonne musique, alcool, et un peu de compagnie sui l'envie t'en prend... en chemin tu croises un vieillard au souffle chargé de vinasse qui te demande ton but dans la vie, ton moteur, ce qui te fait avancer...
Tu réponds (n'hésitez pas à argumenter svp):
A- Casse-toi tu pus et marches à l'ombre...
B- Monsieurs, la vrai question est: quel est votre but à vous?
C- Tuer, ma vie est telle la lame qui pourfend le ventre de l'inncocent...
D- Survivre, qu'éspérer de plus dans ce mon de brutes?
E- Trouver l'amour !!! (0% attendu :p)
F- Le pouvoir, la domination...
G- Autre avec des chtis détails svp
H- La vengeance, un sombre passé me lie à une personne qui doit mourrir !
Mais je dois pas vous en dire trop^^ Mais j'aimerai que vous preniez une petite part à la construction du perso.
Alors je poste juste cette question:
Demain, tu sors du travail, il fait nuit... tu te dirige vers une taverne où tu sais que tu trouveras bonne musique, alcool, et un peu de compagnie sui l'envie t'en prend... en chemin tu croises un vieillard au souffle chargé de vinasse qui te demande ton but dans la vie, ton moteur, ce qui te fait avancer...
Tu réponds (n'hésitez pas à argumenter svp):
A- Casse-toi tu pus et marches à l'ombre...
B- Monsieurs, la vrai question est: quel est votre but à vous?
C- Tuer, ma vie est telle la lame qui pourfend le ventre de l'inncocent...
D- Survivre, qu'éspérer de plus dans ce mon de brutes?
E- Trouver l'amour !!! (0% attendu :p)
F- Le pouvoir, la domination...
G- Autre avec des chtis détails svp
H- La vengeance, un sombre passé me lie à une personne qui doit mourrir !
Dernière édition par Etta le Dim 4 Mai - 14:06, édité 1 fois
Etta- Grande Epée
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Re: Etta lame superbe, Chap 1
par Gimh Dim 4 Mai - 2:17
Tu en as oublié un qui reviens souvent aussi : La vengeance.
hummm sinon je répondrais demain, parce que là il est tard.
hummm sinon je répondrais demain, parce que là il est tard.
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Re: Etta lame superbe, Chap 1
par Néferménedj Dim 4 Mai - 10:18
G) suivre ma destinée accompagné(e) par mes fères et soeurs Arkenstoniens
profiter des bons moments quand ils sont la. pour les mauvais osef faut vite les oublier.
pour nous, simples mortels la vie est trop courte pour ne pas profiter de toutes les bonnes choses qu'elle nous offre ; envisager le malheur nuirais a notre bonheur donc vivons au jour le jour tout ce que la vie peut nous offrir de meilleur.
en ces heures ou la guerre et les rivalitées font rage faudrais être fou de se laisser submerger par le pessimisme ça serai le début de la fin.
profiter des bons moments quand ils sont la. pour les mauvais osef faut vite les oublier.
pour nous, simples mortels la vie est trop courte pour ne pas profiter de toutes les bonnes choses qu'elle nous offre ; envisager le malheur nuirais a notre bonheur donc vivons au jour le jour tout ce que la vie peut nous offrir de meilleur.
en ces heures ou la guerre et les rivalitées font rage faudrais être fou de se laisser submerger par le pessimisme ça serai le début de la fin.
Néferménedj- Epée à deux Mains
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Re: Etta lame superbe, Chap 1
par Etta Dim 4 Mai - 14:07
Merci Gihm, c'est rajouté^^
Je prendrais en compte le nombre de réponse et ça aura une influence sur le 3ème ou 4ème chapitre de mon BG.
Merci a vous
Je prendrais en compte le nombre de réponse et ça aura une influence sur le 3ème ou 4ème chapitre de mon BG.
Merci a vous
Etta- Grande Epée
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Re: Etta lame superbe, Chap 1
par Inanna Dim 4 Mai - 15:17
G- Autre avec des chtis détails svp 
Plus sérieusement je lui réponds : Purger le monde des abominations qui le souillent. (cf bg)
Plus sérieusement je lui réponds : Purger le monde des abominations qui le souillent. (cf bg)
Inanna- Epée à deux Mains
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Re: Etta lame superbe, Chap 1
par Gimh Mar 6 Mai - 11:35
Etta a écrit:
Alors je poste juste cette question:
Demain, tu sors du travail, il fait nuit... tu te dirige vers une taverne où tu sais que tu trouveras bonne musique, alcool, et un peu de compagnie sui l'envie t'en prend... en chemin tu croises un vieillard au souffle chargé de vinasse qui te demande ton but dans la vie, ton moteur, ce qui te fait avancer...
Bon alors en fait j'ai cherché quoi répondre, mais je me suis dis que ça dépendait totalement de ton personnage. La question que tu nous pose, tu veux qu'on réponde par rapport à notre personnage à nous ? Ou bien par rapport au tiens ?
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Re: Etta lame superbe, Chap 1
par Lokhmar Mar 6 Mai - 22:29
très beau BG, félicitations !!! 
à la lecture du chapitre 1er, je dirai que le D irait bien
à la lecture du chapitre 1er, je dirai que le D irait bien
Lokhmar- Titre :
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Re: Etta lame superbe, Chap 1
par Argan Mar 6 Mai - 23:15
pour ton but dans la vie, je dirais quelques chose comme
organiser des combats de coq ou des courses de gastéropodes
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Argan- Titre :
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Re: Etta lame superbe, Chap 1
par Etta Jeu 8 Mai - 2:04
Gimh: En fait, je ne me suis pas posé cette question, cela peut être ce que vous feriez vous, ou ce que vous verriez faire mon perso... Disons que j'ai suffisament noyé le poisson pour essayer de conserver une surprise minimum quand certains éléments ressortiront dans le BG. Donc a vous de voire vos critères de choix^^
Lokhmar: Merci bcp, j'ai pris note.
Argan: Va te pendre... ^^
Lokhmar: Merci bcp, j'ai pris note.
Argan: Va te pendre... ^^
Etta- Grande Epée
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Re: Etta lame superbe, Chap 1
par Invité Ven 9 Mai - 18:48
peut etre que le personnage a ressentit l'appel inconscient vers ce lieu qui est important pour le déroulement de sa vie, de son histoire et le vieillard a un role prédominant dans ceci. gardien d'un secret, d'un lieu ou agent de quelqu'un? il y aurait des révélations de faites....
Invité- Invité
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