Draal, maître des boissons [BG du Clan]
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Draal, maître des boissons [BG du Clan]
Nom : Draal (le Maitre Tonneau)
Age : 45ans
Race : Cimmérien
Rôle : Maître des boissons
En cours
Age : 45ans
Race : Cimmérien
Rôle : Maître des boissons
En cours
Morrigan- Titre :
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Re: Draal, maître des boissons [BG du Clan]
Juste pour informer que ce personnage ne m'inspire pas du tout, mais alors vraiment pas, je laisse le soin à quelqu'un d'autre de faire un petit bg sur lui.
Gimh- Titre :
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Re: Draal, maître des boissons [BG du Clan]
Ok si quelqu'un est tenté pour écrire la vie d'un alcoolique !
Morrigan- Titre :
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Re: Draal, maître des boissons [BG du Clan]
Bon, puisque personne ne s'y est collé, je m'y colle.
Je commence à gribouiller ça cet aprem puisque Wasko revient faire un petit tour IG ^^
Je commence à gribouiller ça cet aprem puisque Wasko revient faire un petit tour IG ^^
Inanna- Epée à deux Mains
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Re: Draal, maître des boissons [BG du Clan]
Bon, j'ai pris du retard mais je m'y colle promis. Juste que j'ai pas eu le temps du tout ces derniers temps. ^^
Inanna- Epée à deux Mains
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Re: Draal, maître des boissons [BG du Clan]
Morrigan a écrit: Nom : Draal (le Maitre Tonneau)
Age : 45ans
Race : Cimmérien
Rôle : Maître des boissons
Hostile, dure, impitoyable mais juste. Voilà ce qu’est la Cimmérie, une marâtre qui nous offre le jour pour mieux nous prendre la vie plus tard. Mais elle est notre mère, ma mère.
A ma naissance, je n’étais pas bien vaillant. Fils de l’hiver, il ne m’était pas donné plus de quelques jours. Les étés se succédèrent.
Enfant, je vivais à l’écart, souvent avec ma mère, alors que les autres ne songeaient qu’à partir à la chasse avec leur père. Je vis un jour l’un des chasseurs du village découper un cerf. J’avais six ans et je m’étais caché à plusieurs mètres pour apprécier le rituel. L’odeur me répugne toujours autant. Mélange d’odeurs de forge et de fosse, le sang et son goût métallique emplissait tout mon être alors que le chasseur émasculait la bête afin de ne pas gâter la viande. J’étais différent des autres. Je ne courrais pas vite, ne sautais pas loin, m’essoufflais rapidement. Peu adroit et pas très fort, une arme entre mes mains était une arme de perdue.
Je fut longtemps le fruit des moqueries de la part des autres jeunes coqs de la tribu, jusqu’au jour où je découvris mes dons. La marâtre offre à tous ses enfants un présent, aussi modeste soit il. Le mien fit de moi ce que je suis aujourd’hui.
Je surprenais continuellement ma mère, lorsque nous passions à table. Exceptionnelle cuisinière, elle savait agrémenter la moindre racine, le moindre quartier de viande et en faire un met succulent. A chaque repas, elle tentait de me prendre en défaut mais je devinais sans toucher à son œuvre quel aromate, quelle épice elle avait bien pu ajouter.
Plus tard, j’appris à me servir de mon odorat et de mon goût exceptionnels. Je sentais la présence du moindre gibier à une lieue et je devins le pisteur le plus réputé de toute la région.
Un jour que je traquais une biche, je m’éloignais et perdais les chasseurs qui m’accompagnaient. Je la suivis jusqu’à une abrupte paroi rocheuse. Elle était là sans défense, buvant à une source. J’étais un homme et malgré mon manque d’aptitudes, je me devais, de part mon statut de mâle, de porter des armes. Je me contentais d’une simple javeline. Seul et ne pouvant laisser échapper une telle proie. Je sortais délicatement le lacet de cuir et l’enroulait avec précision autour du projectile meurtrier. Saisissant l’extrémité autour de mon poing, je m’apprêtais à frapper. L’animal se redressa soudainement. En un éclair, je détendais mon bras, propulsant de toutes mes forces mon épieu qui se mit à tournoyer avec une férocité qui m’était inconnue. Le dard mortel vint transpercer en plein cœur ma cible, qui s’écroula raide morte.
Fier de moi, je rapportais mon trophée au village, prêt à savourer mon unique triomphe.
Mes pères et mes frères ne goûtèrent jamais au fruit de mon exploit. Les Pictes quant à eux se régalèrent de ma proie et me traînèrent quelques temps avant de me vendre comme esclave. Ils me pensaient vaillant et habile et me vendirent à un riche négociant Aquilonien. Bien évidement, pour un Aquilonien, j’étais puissamment bâti et je pu faire illusion auprès de mon maître.
J’étais bien traité. Chargé de porter ses biens et de transporter ses marchandises, je n’ai bien sûr jamais aspiré à vivre la vie d’un mulet, mais mon maître ne me considérait pas comme tel. Son commerce était son seul bien. J’étais également son seul compagnon et du fait il me parlait souvent de son labeur. Il vendait au travers de divers royaumes des breuvages étranges capables d’altérer l’esprit, de rendre amoureuse une femme, de faire parler les hommes contre leur volonté, et de faire tomber le plus puissant des guerriers dans un sommeil des plus lourds. Il me semblait à l'époque qu'il devait être une sorte de sorcier.
Un soir, mon maître se tenait sous la tente d’un riche négociant Shémite. Son fils était chargé de négocier l’achat des biens de mon maître autour d’un copieux repas.
Moi bien sûr j’étais avec les bêtes de somme et je les entendais parler leur langage complexe, où les choses perdaient ou prenaient de la valeur selon l’humeur. Ils appelaient ça marchander et je n’y comprenais rien.
En revanche je saisi parfaitement l’odeur douceâtre, légèrement acide qui accompagnait le plat que notre hôte servait à mon maître. J’entrais comme une furie dans la pièce, juste à temps pour arracher des mains et jeter à terre la pitance de mort donnée à mon bienfaiteur.
Il se leva et hurla de colère. Je lui expliquais péniblement que ce qu’il allait manger l’aurait tué. Je compris ce jour là que tout ne devait pas être dit devant des étrangers et c’est notre hôte à son tour qui se mit à gronder. Il parlait de déshonneur et de mépris. Il parlait beaucoup de ces choses là, un peu trop légèrement. En Cimmérie, son crâne aurait déjà été fendu d’un coup de hache pour avoir parlé plus que n’avoir agit. Le chef de tribu fit son apparition et calma son fils qu’il avait chargé des négociations afin de l’éprouver. Plus sage que sa progéniture, il fit goûter à son chien les restes. La pauvre bête ne renifla même pas le subtil poison et s’endormit à jamais après de terribles convulsions.
La rage du Shémite fut terrible, glaciale et brève. Elle ne dura que le temps nécessaire pour plonger la lame d’un poignard dans le ventre de son fils afin de laver cet affront.
Son fils était un faible et avait préféré s’emparer par le meurtre de la cargaison de mon maître au lieu de la négocier comme son peuple avait coutume de le faire depuis toujours. Mais pire que tout, il s’était fait prendre.
Ce soir là, je découvrais ma liberté à l’instant même où mon maître prenait conscience de mes dons. Pour lui je valais désormais bien plus qu’un simple esclave et je devins son apprenti. Il m’apprit ce qu’il savait de la confection de ces breuvages que l’on nomme alcools. Ma science et la sienne firent des merveilles et bientôt de nouvelles créations parcouraient l’Hyboria. Mes talents lui permettaient d’opérer des dosages subtils et des mariages insolites. Nos eaux de vie étaient prisées des grandes cours, nos liqueurs des plus belles femmes et notre vin des plus riches soiffards.
Je vécu au côté de mon maître une vie des plus douce, entre volupté, luxe et pouvoir. Mais la vie des villes m’était insupportable. Tous ce gens, toutes ces bêtes étaient autant de messages pour mes sens qui me rendaient fou. Toutes ces années, je m’enivrais le jour afin d’endormir mes sens et je ne me réveillais qu’à la nuit tombée, où l’air est plus doux, pour m’atteler à ma tâche. Seule l’affection que j’avais pour mon maître me faisait endurer cette vie qui malgré tous ses avantages me rendait amer.
Lorsque je dormais, je songeais à la Cimmérie. Ses immenses vallées enneigées. Ses plaines nues. Et surtout, surtout, son air d’une pureté inégalée dans tout le royaume.
A la mort de mon maître, je disparu, et nos secrets m’accompagnèrent dans ma retraite. Aujourd’hui, nos œuvres sont devenues des légendes.
Moi je paie mes excès passés par une santé vacillante, mais je m’enivre désormais des vents de ma terre natale, du souffle de ma mère.
Là où je vis aujourd’hui, je ne suis que Draal, et je sers aux vaillants guerriers de mon nouveau clan des breuvages d’autrefois. Des breuvages de légende et nul ne s’en doute. Mais, tous viennent à moi afin de trouver courage dans quelques lampées avant de partir au combat, ou quelques gorgées de réconfort après la victoire. Serais je une infime raison de leurs exploits ? Peut être bien…
A ma naissance, je n’étais pas bien vaillant. Fils de l’hiver, il ne m’était pas donné plus de quelques jours. Les étés se succédèrent.
Enfant, je vivais à l’écart, souvent avec ma mère, alors que les autres ne songeaient qu’à partir à la chasse avec leur père. Je vis un jour l’un des chasseurs du village découper un cerf. J’avais six ans et je m’étais caché à plusieurs mètres pour apprécier le rituel. L’odeur me répugne toujours autant. Mélange d’odeurs de forge et de fosse, le sang et son goût métallique emplissait tout mon être alors que le chasseur émasculait la bête afin de ne pas gâter la viande. J’étais différent des autres. Je ne courrais pas vite, ne sautais pas loin, m’essoufflais rapidement. Peu adroit et pas très fort, une arme entre mes mains était une arme de perdue.
Je fut longtemps le fruit des moqueries de la part des autres jeunes coqs de la tribu, jusqu’au jour où je découvris mes dons. La marâtre offre à tous ses enfants un présent, aussi modeste soit il. Le mien fit de moi ce que je suis aujourd’hui.
Je surprenais continuellement ma mère, lorsque nous passions à table. Exceptionnelle cuisinière, elle savait agrémenter la moindre racine, le moindre quartier de viande et en faire un met succulent. A chaque repas, elle tentait de me prendre en défaut mais je devinais sans toucher à son œuvre quel aromate, quelle épice elle avait bien pu ajouter.
Plus tard, j’appris à me servir de mon odorat et de mon goût exceptionnels. Je sentais la présence du moindre gibier à une lieue et je devins le pisteur le plus réputé de toute la région.
Un jour que je traquais une biche, je m’éloignais et perdais les chasseurs qui m’accompagnaient. Je la suivis jusqu’à une abrupte paroi rocheuse. Elle était là sans défense, buvant à une source. J’étais un homme et malgré mon manque d’aptitudes, je me devais, de part mon statut de mâle, de porter des armes. Je me contentais d’une simple javeline. Seul et ne pouvant laisser échapper une telle proie. Je sortais délicatement le lacet de cuir et l’enroulait avec précision autour du projectile meurtrier. Saisissant l’extrémité autour de mon poing, je m’apprêtais à frapper. L’animal se redressa soudainement. En un éclair, je détendais mon bras, propulsant de toutes mes forces mon épieu qui se mit à tournoyer avec une férocité qui m’était inconnue. Le dard mortel vint transpercer en plein cœur ma cible, qui s’écroula raide morte.
Fier de moi, je rapportais mon trophée au village, prêt à savourer mon unique triomphe.
Mes pères et mes frères ne goûtèrent jamais au fruit de mon exploit. Les Pictes quant à eux se régalèrent de ma proie et me traînèrent quelques temps avant de me vendre comme esclave. Ils me pensaient vaillant et habile et me vendirent à un riche négociant Aquilonien. Bien évidement, pour un Aquilonien, j’étais puissamment bâti et je pu faire illusion auprès de mon maître.
J’étais bien traité. Chargé de porter ses biens et de transporter ses marchandises, je n’ai bien sûr jamais aspiré à vivre la vie d’un mulet, mais mon maître ne me considérait pas comme tel. Son commerce était son seul bien. J’étais également son seul compagnon et du fait il me parlait souvent de son labeur. Il vendait au travers de divers royaumes des breuvages étranges capables d’altérer l’esprit, de rendre amoureuse une femme, de faire parler les hommes contre leur volonté, et de faire tomber le plus puissant des guerriers dans un sommeil des plus lourds. Il me semblait à l'époque qu'il devait être une sorte de sorcier.
Un soir, mon maître se tenait sous la tente d’un riche négociant Shémite. Son fils était chargé de négocier l’achat des biens de mon maître autour d’un copieux repas.
Moi bien sûr j’étais avec les bêtes de somme et je les entendais parler leur langage complexe, où les choses perdaient ou prenaient de la valeur selon l’humeur. Ils appelaient ça marchander et je n’y comprenais rien.
En revanche je saisi parfaitement l’odeur douceâtre, légèrement acide qui accompagnait le plat que notre hôte servait à mon maître. J’entrais comme une furie dans la pièce, juste à temps pour arracher des mains et jeter à terre la pitance de mort donnée à mon bienfaiteur.
Il se leva et hurla de colère. Je lui expliquais péniblement que ce qu’il allait manger l’aurait tué. Je compris ce jour là que tout ne devait pas être dit devant des étrangers et c’est notre hôte à son tour qui se mit à gronder. Il parlait de déshonneur et de mépris. Il parlait beaucoup de ces choses là, un peu trop légèrement. En Cimmérie, son crâne aurait déjà été fendu d’un coup de hache pour avoir parlé plus que n’avoir agit. Le chef de tribu fit son apparition et calma son fils qu’il avait chargé des négociations afin de l’éprouver. Plus sage que sa progéniture, il fit goûter à son chien les restes. La pauvre bête ne renifla même pas le subtil poison et s’endormit à jamais après de terribles convulsions.
La rage du Shémite fut terrible, glaciale et brève. Elle ne dura que le temps nécessaire pour plonger la lame d’un poignard dans le ventre de son fils afin de laver cet affront.
Son fils était un faible et avait préféré s’emparer par le meurtre de la cargaison de mon maître au lieu de la négocier comme son peuple avait coutume de le faire depuis toujours. Mais pire que tout, il s’était fait prendre.
Ce soir là, je découvrais ma liberté à l’instant même où mon maître prenait conscience de mes dons. Pour lui je valais désormais bien plus qu’un simple esclave et je devins son apprenti. Il m’apprit ce qu’il savait de la confection de ces breuvages que l’on nomme alcools. Ma science et la sienne firent des merveilles et bientôt de nouvelles créations parcouraient l’Hyboria. Mes talents lui permettaient d’opérer des dosages subtils et des mariages insolites. Nos eaux de vie étaient prisées des grandes cours, nos liqueurs des plus belles femmes et notre vin des plus riches soiffards.
Je vécu au côté de mon maître une vie des plus douce, entre volupté, luxe et pouvoir. Mais la vie des villes m’était insupportable. Tous ce gens, toutes ces bêtes étaient autant de messages pour mes sens qui me rendaient fou. Toutes ces années, je m’enivrais le jour afin d’endormir mes sens et je ne me réveillais qu’à la nuit tombée, où l’air est plus doux, pour m’atteler à ma tâche. Seule l’affection que j’avais pour mon maître me faisait endurer cette vie qui malgré tous ses avantages me rendait amer.
Lorsque je dormais, je songeais à la Cimmérie. Ses immenses vallées enneigées. Ses plaines nues. Et surtout, surtout, son air d’une pureté inégalée dans tout le royaume.
A la mort de mon maître, je disparu, et nos secrets m’accompagnèrent dans ma retraite. Aujourd’hui, nos œuvres sont devenues des légendes.
Moi je paie mes excès passés par une santé vacillante, mais je m’enivre désormais des vents de ma terre natale, du souffle de ma mère.
Là où je vis aujourd’hui, je ne suis que Draal, et je sers aux vaillants guerriers de mon nouveau clan des breuvages d’autrefois. Des breuvages de légende et nul ne s’en doute. Mais, tous viennent à moi afin de trouver courage dans quelques lampées avant de partir au combat, ou quelques gorgées de réconfort après la victoire. Serais je une infime raison de leurs exploits ? Peut être bien…
Dernière édition par Inanna le Lun 12 Mai - 14:06, édité 1 fois
Inanna- Epée à deux Mains
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Re: Draal, maître des boissons [BG du Clan]
bravo! c'est plutot pas mal!
Argan- Titre :
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Re: Draal, maître des boissons [BG du Clan]
Ouahouuu ! Ca donne soif ça ! (Chapeau l'artiste c'est super)
Morrigan- Titre :
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Re: Draal, maître des boissons [BG du Clan]
Génial... vivement qu'on puisse en boire !
Andjety- Epée à deux Mains
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Re: Draal, maître des boissons [BG du Clan]
[hrp]héhé j'aime bien la fin Comme les autres bravo c'est parfait et vraiment bien rédigé!! [/hrp]Serais je une infime raison de leurs exploits ? Peut être bien…
Goldorius- Titre :
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Re: Draal, maître des boissons [BG du Clan]
Je mouline et je renvoie à Gimh pour mise en page... Chapeau pour la rédaction !
Innocentius- Titre :
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Re: Draal, maître des boissons [BG du Clan]
Inanna bravo, il me tarde de rencontrer Draal pour lui demander son point de vue sur certaine fabrication de mes potions.
Luthor- Epée à deux Mains
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Re: Draal, maître des boissons [BG du Clan]
Super j'adore ! Bravo Inanna
Gimh- Titre :
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Re: Draal, maître des boissons [BG du Clan]
alala que c'est beau... c'est quand qu'on trinque..
Néferménedj- Epée à deux Mains
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Re: Draal, maître des boissons [BG du Clan]
Bravo quel recit et tout ceci ma donné soif...
Elyme- Petite Epée
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Re: Draal, maître des boissons [BG du Clan]
Très bien écrit Inanna. J'ai l'impression de "voir" dans ce Draal un peu de Jean-Baptiste Grenouille, l'(anti)-héros du Parfum de Suskind. Superbe inspiration.
Abrax- Epée à deux Mains
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Re: Draal, maître des boissons [BG du Clan]
Il y'a en effet un peu de lui dedans, et bravo pour le coup d'oeil (ca fait plaisir que la source transpire dans ce petit texte ^^)
Inanna- Epée à deux Mains
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